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Agenda
Fil d'Ariane
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Prochaines dates
- Du 23 avril au 19 mai 2024 : 10h-19h
Expo en vitrine de la librairie jeunesse de Strasbourg pour le nouvel album de ce jeune illustrateur qui s’est déjà fait remarquer avec son précédent "Pop-up volcans".
Description détaillée :
Du chocolat froid, une vague de chaleur et un prisonnier des glaces pas commode : c’est la règle de trois du "Lendemain", album écrit et illustré par Tom Vaillant paru aux éditions Thierry Magnier. Dans cette aventure polaire et solaire, la température grimpe en même temps que le héros grandit, s’adapte, apprend, vieillit. Le récit d’une vie chamboulée par des changements climatiques spectaculaires, qui font écho aux problématiques écologiques actuelles.
Rencontre avec l'auteur et illustrateur : samedi 11 mai à 15h
Du 23 avril au 19 mai.
Exposition en vitrine de la librairie. -
Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 19h-20h
Le Rakugo est la forme la plus populaire du conte au Japon depuis quatre siècles. Le conteur, assis en seiza (à genoux sur un coussin), utilise un éventail et une serviette traditionnelle en tissu pour reproduire toute la gestuelle des personnages qu'il fait vivre sur scène.
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Prochaines dates
- Du 18 avril au 22 mai 2024 : 8h-23h30
Le collectif libanais Samandal a donné carte blanche à deux de ses membres pour deux séquences en parallèle : « Titties Too » de Nour Hifaoui et « Quelques danses pour
combattre la migraine » de Karen Keyrouz. Vingt illustrations format affiche, dans dix panneaux publicitaires le long du Quai des Bateliers. Les deux illustratrices font dialoguer leur travail en noir et blanc, autour du thème de la solitude et du rapport entre privé et public.L’exposition mélange les univers de deux autrices membres du collectif Samandal : Nour Hifaoui avec « Titties Too » et Karen Keyrouz avec « Quelques danses pour combattre la migraine » *. Ces deux amies, ainsi que l’évoque l’une des planches exposées, présentent chacune dix planches issues de leur projets respectifs. Les deux séquences montées en parallèle créent une nouvelle narration, qui aborde le thème de la solitude et la tentative d’en sortir. À travers des scènes récurrentes de recherche et de lassitude, l’exposition dans l’espace public crée un passage vers l’intimité.
* Quelques danses pour combattre la migraine fait partie de l’exposition « Manifestations ; and The Voyage » commissariée par Hussein Nakhal Waraq - Tabaan!2024 (Beyrouth), réalisée dans le cadre d’une résidence à la Maison des Auteurs (Angoulême).
Retrouvez Karen Keyrouz & Nour Hifaoui sur la Table-ronde « Live from Beyrouth » sur le Salon des Indépendant·es au Garage Coop + Cric : samedi 4 mai de 14h30 à 16h
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Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 16h-18h
Quarante micronations, créées par autant d’illustrateurices, défileront dans les rues de Strasbourg en ouverture de cette 14e édition du Festival Central Vapeur. Cette année, cinq nouvelleaux artistes — Carla Aouad, Garance Coquart-Pocztar + Tanguy Chêne, Adrià Fruitos, Salomé Garraud et María Ramos Bravo — ont imaginé la leur, et leurs illustrations sont venues enrichir la collection originale de 2020, imaginée pour les dix ans de Central Vapeur.
Le défilé dans l’espace urbain vous emmènera faire le tour de différentes expositions du Festival : Habiter les clairières de Nastassia B. (Graffagar), La Mer à boire de Blutch (Cinéma le Cosmos), Le Lendemain de Tom Vaillant (La Bouquinette), C comme Caché de Julia Fréchette (librairie Gutenberg), Le Lierre et l’araignée de Grégoire Carlé (librairie le Tigre), L’Orage, l’étoile et la brume de Salomé Garraud (l’Oiseau-Rare) ou encore La Grande Coïncidence des Éditions 2024 (terrasse du Palais Rohan).
La Parade des Micronations terminera sa course Place du Château pour l’inauguration des Rencontres de l’illustration.Départ : 16h > Graffalgar
Arrivée : 18h > Place du Château -
Prochaines dates
- Du 07 février au 25 mai 2024 : 10h-19h
Du 7 février au 26 mai 2024
Du lundi au samedi de 10h à 19h et le dimanche de 13h à 19h.
Fermeture les jours fériés.
Nocturne 19h-minuit le 18 mai 2024 pour la Nuit européenne des musées.Du 7 février au 26 mai 2024, la Bnu proposera l’exposition Mari en Syrie : renaissance d’une cité au 3e millénaire. Cette exposition est un événement exceptionnel produit en partenariat avec le Domaine & Musée royal de Mariemont (Morlanwelz, Belgique) qui présentera l’exposition à l’automne 2023, et le musée du Louvre, qui prête pour l’occasion plus de 140 objets, dont une vingtaine de pièces majeures ordinairement exposées dans ses propres salles.
Le projet de cette exposition est de faire revivre pour le public l’un des plus puissants royaumes du Proche-Orient ancien, celui de Mari, lors d’une des phases les plus brillantes de sa longue histoire : la période dite des Šakkanakkus, c’est-à-dire entre 2250 et 1850 av. J.-C*. Ce que nous savons de cette ville à cette période, à la lumière des dernières recherches menées par les archéologues et les assyriologues, éclaire d’un jour nouveau tout un pan de l’histoire de cette région, berceau des civilisations de l’écriture.
Car Mari est au coeur du monde de l'écriture cunéiforme, une des premières écritures au monde, dont la Ville de Strasbourg non seulement conserve de nombreux témoignages, mais autour de laquelle elle développe aussi, depuis 150 ans, une excellence universitaire. Cet aperçu du berceau de l'écriture, qui fait écho au berceau strasbourgeois de l'imprimerie 4000 ans plus tard, est ici mis en valeur pour apporter une touche originale supplémentaire et particulièrement rare dans la programmation de "Capitale mondiale du Livre 2024".
La cité de Mari est bâtie sur les bords de l’Euphrate, en Syrie, à 15 km de la frontière avec ce qui est aujourd’hui l’Irak. Construite vers 2900, elle a connu trois phases au cours des douze siècles de son existence, que l’on distingue sous le nom de Mari I (2900-2650 environ), II (2550-2250) et III (2250-1760). Centre important de production artisanale, en particulier dans le domaine de la métallurgie, Mari a bénéficié d’une position prépondérante au carrefour de routes commerciales (fleuve, canaux, caravanes) pour se développer, s’embellir, dominer un large territoire et faire vivre la population d’une ville de près de 2 km de diamètre. Une telle puissance n’a pas manqué d’attirer alliances et convoitises et de provoquer destructions, reconstructions et embellissements. Ce fut le cas autour de 2250 : Mari, détruite, fut néanmoins relevée rapidement, et c’est là l’origine de la ville III. Architectes de cette renaissance, les Šakkanakkus ou gouverneurs militaires installés par un pouvoir étranger pour assurer sa domination sur Mari, entrent également dans l’histoire à ce moment-là. Sous leur autorité, Mari se dote d’un puissant système de défense à double rempart ; elle se dote également de palais, dont l’un, connu sous le nom de Grand palais royal, est un très vaste complexe de plus de 300 pièces, constituant à lui seul comme une ville dans la ville ; enfin, les temples sont rénovés dans le cœur d’une cité dont l’urbanisme parfaitement maîtrisé va à l’encontre des idées reçues sur l’organisation anarchique des premières villes d’Orient. De cette action de reconstruction et de rénovation portée au fil des générations de Šakkanakkus, il reste des témoignages saisissants, vestiges d’une sorte d’Âge d’Or de l’art syro-mésopotamien : statues et statuettes de pierre, d’argile ou de cuivre, peintures murales, décors d’incrustation, éléments d’architecture, objets de luxe, dépots de fondation. À côté de ces objets d’art, se dévoile également tout un substrat culturel, révélé par les textes cunéiformes, les outils et installations artisanales, les objets du quotidien, etc.
L’exposition "Mari en Syrie : renaissance d’une cité au 3e millénaire" rend compte à travers la diversité des objets réunis grâce aux prêts exceptionnels du musée du Louvre, de la splendeur retrouvée de Mari en cette fin du 3e millénaire avant J.-C. Par-delà les chefs-d’œuvre exposés – lion de cuivre, statues de stéatite ou d’albâtre, peintures, trésors de fondation de temples ou maquettes restituant le gigantisme du palais – l’exposition offre aussi la possibilité d’entrer plus profondément dans cette civilisation, pour mieux en comprendre l’intérêt et l’originalité : la diversité des matériaux échangés qui firent la richesse de Mari, les témoignages de la présence de Mariotes dans différents États de Mésopotamie et de Syrie pour illustrer le rayonnement de cette cité, importance des documents de divination et de la pratique de l’écriture cunéiforme qui rattachent la culture de Mari à l’ensemble du monde syro-mésopotamien, sceaux - cylindres qui mettent en scène le pouvoir, etc.
Si certaines pièces présentées figurent parmi les chefs-d’œuvre les plus connus de la collection d’antiquités orientales du musée du Louvre, elles ne sont que très rarement présentées hors de ce "plus grand musée du monde" : c’est une occasion unique de les admirer à Strasbourg, au milieu d'autres objets exposés parfois ou réunis pour la tout première fois. Cela n’est possible que grâce au projet de musée d’art et d’archéologie du Proche et du Moyen-Orient que la Bnu porte avec ses partenaires (musées de Strasbourg, Université de Strasbourg, musée du Louvre et ministère de la Culture), et dont cette exposition est une sorte de préfiguration.
Mais la renaissance de Mari est aussi une histoire contemporaine : celle de la redécouverte de cette ville, disparue pendant des millénaires., jusqu’à ce qu’en 1933 la mission archéologique du musée du Louvre la rende au jour. Et dans la trame de cette histoire-là, Strasbourg, avec d’autres acteurs, entre en scène.
L’histoire de cette mission est en effet le second aspect abordé dans l’exposition : non seulement l’aventure archéologique qu’elle représente depuis 90 ans, avec ses méthodes, ses vicissitudes et ses différentes orientations au fil du temps, mais aussi ses principaux acteurs et leurs questionnements successifs, d’André Parrot (1901-1980), le pionnier, à son ami Georges Dossin (1896-1983), assyriologue liégeois qui joua un rôle essentiel dans le déchiffrement des milliers de tablettes découvertes à Mari, en passant par Jean-Claude Margueron (1934-2023) professeur à l’Université de Strasbourg lorsqu’il assuma, à partir de 1979, la direction de la mission archéologique, aux côtés duquel de nombreux étudiants et chercheurs strasbourgeois, toujours actifs aujourd’hui, se sont engagés dans l’exploration de Mari ; et jusqu’aux équipes actuelles dirigées par Pascal Butterlin (Université Paris I et EPHE). Avec cette histoire, riche de plus de 45 campagnes de fouilles sur le terrain, prend corps le lent travail de compréhension du site, d’élucidation de ses monuments et de contextualisation des objets et installations mises au jour auquel s’attèlent les membres de la mission.
Pour ce faire, l’exposition mobilise plusieurs dizaines de documents d’archives issus de la mission archéologique du Louvre à Mari, généreusement prêtés par le service des archives de la MSH-Mondes (Nanterre) : photographies prises dès les premières campagnes, vues aériennes du site, archives administratives relatant les difficultés du chantier, les espoirs de découvertes, les hypothèses successives ; calques de relevé, dessins, transcriptions et fiches ; et, ce qui est exceptionnel, quelques films (issus des archives de Georges Dossin de l’Université de Liège), tournés sur le chantier, qui en montrent la vie en instantané. On y voit l’émotion générale lors de la découverte d'une statuette, les difficultés à sortir de terre les deux lions de cuivre, les hésitations du fouilleur sur le partage des objets découverts après chaque campagne, les vicissitudes des voyages en bateau de l’équipe de la mission, etc.
Avec Mari en Syrie, c'est un autre monde que le visiteur est invité à lire : un monde passé, fait de traces ténues et évanescentes, que la patience et le labeur restitue ; un monde disparu, dont les quelques vestiges, patrimoine inestimable de l'Humanité, nécessitent toute l'attention possible, en particulier dans le contexte dramatique actuel.
Doublée d'une programmation événementielle riche en conférences, ateliers, visites commentées et tables rondes, l'exposition Mari en Syrie s'adresse à un très large public curieux d'écriture, d'art et d'archéologie.
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Prochaines dates
- Du 24 avril au 19 mai 2024 : 10h-20h
Le Festival Central Vapeur met en avant l'illustration, la bande dessinée indépendante et s'ouvre également au paysage des arts visuels, graphiques et narratifs. Pour sa 14e édition, le Festival place le focus sur le pourtour méditerranéen en invitant notamment les artistes Raphaelle Macaron (Liban) et Jesús Cisneros (Espagne).
Comme chaque année, le festival s'ouvre par la "Parade des Micronations", défilé dans la ville de Strasbourg de quarante drapeaux dessinés et imaginés par autant d'illustrateur·ices. De nombreuses expositions sont à retrouver en ville, que ce soit dans les vitrines des librairies indépendantes, ou dans des lieux plus intimes qui ne demandent qu'à être découverts, ou encore le long des quais des Bateliers où le "Parcours d'Affiches" est une nouvelle fois à retrouver.
Point d'orgue du Festival : le "Salon des Indépendant·es" les 4 et 5 mai au Garage Coop et au Cric, où une trentaine de collectifs sont rassemblés pour présenter leurs travaux : bande-dessinées, beaux tirages, livres-objets, fanzines..., l'occasion de (re)découvrir de rares objets et oeuvres et de rencontrer les artistes.
Le Salon est également l'opportunité de participer à des conférences, tables-rondes, heures du conte, ateliers divers, etc.
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- Du 12 avril au 07 mai 2024 : 10h-22h
Utopie, c’est étymologiquement le « lieu de nulle part ». Inventé par Thomas More dans un texte essentiel paru en 1516, le terme désigne un pays imaginaire où vit une société idéalement organisée. Dès lors, les contrées fictives se sont multipliées dans la littérature, la peinture, le cinéma... Et le fantasme d’une société parfaite a orienté les politiques, nourri les idéologies. Les opéras Lohengrin et Guercœur, hantés par cette aspiration, fournissent l’occasion de développer l’édition 2024 du festival Arsmondo autour de l’utopie et des pays imaginaires. Fidèle à son principe qui consiste à rassembler des représentations lyriques, concerts, expositions, lectures, films, conférences et débats autour d’une culture transnationale, Arsmondo fait un pas de côté et explore le concept d’utopie plutôt que des pays réels. La référence à l’ouvrage de Thomas More relie cette sixième édition du festival aux manifestations de Strasbourg Capitale mondiale du livre. Et comme l’utopie articule fiction et politique, une place particulière sera offerte aux œuvres de l’esprit comme au débat d’idées, dans cette ville qui est un haut lieu du projet européen. Outre les textes et films mettant en scène des sociétés idéales, on découvrira des œuvres utopiques dans des langues inventées ou des formes prétendument parfaites, au gré de collaborations avec les institutions et associations strasbourgeoises, partenaires essentiels de notre festival interdisciplinaire.
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- Du 10 avril au 07 juin 2024 : 14h-17h
Maître Keishu Kawai est née dans la préfecture japonaise d’Ibaraki, au nord de Tokyo.
Formée à l’art de la calligraphie dans la prestigieuse université de Tsukuba, puis durant dix années par le grand Maître Sôin Furutani à Kyoto, elle devient Maître de calligraphie à son tour et expose ses œuvres dans le monde entier.
Aujourd’hui, elle se consacre à l’art de la calligraphie, et développe des collections de plus en plus uniques.Exposition ouverte aux horaires du lieu.
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- Du 10 avril au 07 juin 2024 : 14h-17h
Dans le cadre des "semaines japonaises", Madeleine Millot Durrenberger, collectionneuse de photographies, présentera à l'Alliance Française de Strasbourg 49 photographies réalisés par 5 artistes japonais :
Jun Shiraoka
Keiichi Tahara
Yuki Onodera
Takuji Shimmura
Masao Yamamoto
Cette exposition sera complémentaire de l'exposition de calligraphies de Maître Keishu Kawai.Exposition ouverte aux horaires du lieu.
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- Du 19 mars au 04 août 2024 : 10h-18h
Depuis le 19 juillet 2023, le MAMCS propose un accrochage à partir de ses collections sur le thème du costume intitulé « Être ou paraître ». Dans le cadre de « Strasbourg, capitale mondiale du livre », l’artiste strasbourgeoise Jeanne Bischoff est invitée à présenter une sélection de ses œuvres construites comme des livres ainsi que ses recherches puisées dans les numéros historiques de la revue La mode illustrée.
Jeanne Bischoff se nourrit d’archives, de livres, et de revues qu’elle manipule, notamment grâce à un ordinateur, pour créer des collages et des dessins aux couleurs et aux motifs chatoyants et lumineux. Ce travail sur la forme, engendré par ses lectures et recherches littéraires ou scientifiques, est toujours en mouvement et s’accomplit dans son expérimentation même. Son rapport au livre, au papier, à l’image, au détail formel détermine une invention des formes toujours inachevée. Les œuvres sélectionnées pour l’occasion racontent cette histoire particulière qui se tisse entre le livre, la mode et la forme plastique. Sont entre autres exposés au sein du parcours, des dessins de « faux costumes », Fric-Frac, un leporello exceptionnel réalisé à partir d’images de cols de chemises, des collages du Chaotique ballet ou « Pour un finir avec La Mode illustrée », La Chevelure et des « Historiques ».
Cet ensemble de Jeanne Bischoff vient scander les salles de l’accrochage qui questionne les représentations du costume et ce qu'elles peuvent révéler d'une époque, d'un individu, d'un groupe et d'une société. « Être ou paraître » réunit une soixantaine d’œuvres des collections du musée, datées de 1860 à nos jours. À l’aide de costumes et d’accessoires, les artistes définissent des typologies ou à l’inverse révèlent la singularité de la personne grâce à une simple chemise ou un déguisement. À la croisée de l’individu et du collectif, le costume se situe dans la norme ou dans la marge.
Les œuvres de Jeanne Bischoff dialoguent avec celles de Martin Hubrecht, Gérard Schlosser, Victor Brauner, Lothar von Seebach mais aussi Jonathan Meese, Françoise Saur, Marcel Broodthaers, Gretel Weyer ou Léon Bakst. L’Opéra national du Rhin prolonge sa participation à ce troisième volet par le prêt exceptionnel de costumes réalisés pour l’opéra de Leoš Janáček, L’Affaire Makropoulos, présenté à deux reprises à Strasbourg depuis 2011.
Commissariat : Barbara Forest, conservatrice en chef du patrimoine, Thierry Laps, assistant scientifique, MAMCS
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Prochaines dates
- Du 24 avril au 19 mai 2024 : 14h-19h
Chaque année, un·e illustrateurice confirmé·e, venu·e de par-delà les mers, d’au-delà des Vosges ou d'outre-Rhin, dialogue à distance et en image avec un·e jeune talent de la région de Strasbourg, en deux fois dix dessins qui se répondent pour former un tout aux styles très personnels.
La guerre s’est imposée dans le dialogue entre l’illustratrice libanaise et la strasbourgeoise. Intime ou onirique, en couleur ou noir et blanc, elle se dit ou se crie en vingt dessins créés entre octobre 2023 et mars 2024.
L’exposition totémique Central Vapeur associe sa résidente libanaise de 2023, Raphaelle Macaron, et une de ses figures fondatrices, Violaine Leroy, autour de leur mémoire familiale. Sur plusieurs générations pour Raphaelle Macaron, elle est marquée par l’instabilité politique au Liban, les guerres avec Israël, la Syrie, la Guerre Civile et la Nakba. La place du conflit est plus circonscrite dans l’histoire de Violaine Leroy, aux anecdotes familiales, à ce qui reste d’anciennes photographies et à un ailleurs de l’information, de l’histoire et de la fiction. La guerre était déjà présente à leurs esprits avec l’Ukraine, mais avec le 7 octobre 2023, les bombardements israéliens sur Gaza et le Liban, la guerre s’est imposée dans le Dialogue.
Comme l’expérience qu’en ont les artistes, vécue ou par procuration, les dessins contrastent, avec pour fil rouge peut-être, le regard d’une fillette sur les événements. Chez Raphaelle Macaron c’est l’intime qui prime : la couleur de la robe de chambre de sa mère, une télévision allumée, lumière isolée dans une ville en black-out, ses souvenirs de guerres sont ancrés dans un quotidien. Violaine Leroy livre quant à elle une danse macabre en noir et blanc, une féérie horrifique où l’abstraction côtoie le cartoon et les images très réalistes d’une apocalypse que l’on découvre quotidiennement sur nos écrans.
Du 24 avril au 19 mai.
Du jeudi au dimanche, de 14h à 19h.Rencontre avec les autrices, suivie du vernissage de l'exposition : vendredi 3 mai à 18h.
Écoutez le podcast de la rencontre du 3 mai sur le site de Strasbourg Méditerranée > strasmed.com -
Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 10h-12h
Avec ton cahier cousu main, tu feras sensation. Plier, assembler et coudre les feuilles de ton cahier dans une belle reliure personnalisée, n’aura plus de secrets pour toi et tu pourras l’emmener en souvenir.
Dès 8 ans. Durée : 2h. Sur inscription
Mercredi 24 avril à 10h
Médiathèque Gisèle Halimi
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Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 14h-17h
Cet atelier d’initiation aux effets spéciaux numériques offrira la possibilité à chacun-e de créer sa propre vidéo à partir de captations prises au cœur de Strasbourg. Apparition magique, déambulation étonnante dans la ville, l’incroyable se fabriquera avec smartphones et tablettes !
De 11 à 15 ans
Évènement se déroulant au 5e Lieu, 5 place du Château, 67000 Strasbourg
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Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 17h-21h
Avant première de l'exposition "Julie Doucet. Une Rétrospection". L’exposition monographique invite à retrouver l’univers de l’artiste culte Julie Doucet et sa trajectoire artistique, des fanzines underground jusqu’au Grand Prix d’Angoulême, qu’elle a reçu en 2022. Conçue en étroite collaboration avec l’artiste, cette exposition présente pour la première fois toutes les formes d’expression qu’elle a explorées au cours de sa carrière, du dessin jusqu’à la vidéo, en passant par la sérigraphie et la poésie.
De 17h à 21h : accès en avant-première à l’exposition
17h, 17h30, 18h45 et 20h : visites guidées flash*
19h15 : performance vocale d’Anne Ayçoberry, comédienne, avec des lectures de la poésie de Julie Doucet* -
Prochaines dates
- Le 24 avril 2024 : 16h-18h
Pour l’inauguration de l’exposition, Bérénice Dautry et Victor Lefebvre, tous deux graveurs et illustrateurs, vous invitent à découvrir la gravure d’épargne, telle qu’elle était pratiquée au temps de Doré. Participez à la création d’une image en gravant une partie de celle-ci et assistez à une démonstration de la gravure sur bois de bout.
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Prochaines dates
- Du 08 avril au 02 décembre 2024 : 15h-18h
Le patrimoine est le témoin de notre histoire. C’est aussi la trace visible de notre identité commune, collectée et préservée pour l’avenir.
Dans ce parcours, la Bnu dévoile les trésors qui ont rejoint ses collections pendant les dix dernières années, c’est-à-dire depuis la réouverture de la Bnu après sa « métamorphose ». Incontournables comme les manuscrits et les incunables, insolites comme un globe céleste ou inattendus comme des caractères typographiques, les pièces présentées vous invitent à parcourir les éléments d’une mémoire en construction.
Le parcours permettra aussi de découvrir les différents acteurs qui s’activent en coulisse pour mettre en valeur ces documents : l’atelier de restauration ou bien encore celui de numérisation, bien des métiers et des savoir-faire uniques qui sont mis au service de cet héritage, ces nouveaux « trésors d’Alsace ».
du 8 avril au 2 décembre 2024
Uniquement en visites commentées
Calendrier et réservations sur www.bnu.fr > billetterie -
Prochaines dates
- Du 24 avril au 19 mai 2024 : 14h-19h
Dans l’offrande, telle qu’elle s’est manifestée dans diverses cultures, y compris le contexte historique de la Méditerranée, des fruits, des plantes et des graines disposés dans des céramiques et des objets divers se réunissent pour former une unité. L’acte d’offrande implique une activité physique et esthétique sur un support tangible. Le périmètre ritualisé devient un espace de transition et de communication entre les mondes visibles et invisibles.
Cette exposition établit un parallèle entre cette expression de spiritualité ancestrale transmise au sein d’une communauté à travers les générations et la pratique artistique du dessin et
de la peinture. De cette manière, le support en papier devient également un territoire d’exploration et de contact entre le connu (l’observé, la mémoire) et l’inconnu (l’intuitif et l’imaginé).
Cet échange prend forme et réalité uniquement à travers l’action physique et esthétique du dessin et de la couleur.Du 24 avril au 19 mai.
Du jeudi au dimanche, de 14h à 19h.Vernissage de l'exposition : vendredi 3 mai à 19h.
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Prochaines dates
- Du 25 avril au 22 septembre 2024 : 11h-18h
Sauter, grimper, glisser, JOUER !
Terrains de jeux est une exposition graphique et ludique qui met en lumière la place des enfants dans la ville à travers l’univers des aires de jeux.
Toboggans, tourniquets, balançoires, maisonnettes, araignées ou bacs à sable.
Des espaces colorés à explorer, des terrains d’aventure à hauteur d’enfant au cœur de la ville.5 artistes issu·es du collectif Les Rhubarbus se sont approprié·es ces espaces. À travers des dessins, volumes, installations à jouer, elles et ils proposent un regard nouveau sur ces lieux de l’enfance.
Couleurs, formes, mouvements, autant de terrains de jeux que chaque artiste a exploré à sa manière et que nous vous invitons à découvrir.Avec Guillaume Chauchat, Élisa Géhin, Joseph Kieffer, Anne Laval, Violaine Leroy.
Créé en 2005 par des illustrateurs et illustratrices, le collectif à géométrie variable Les Rhubarbus rassemble des artistes autour de projet d’expositions thématiques.
Après Et si on l’ouvrait, Cadavres exquis, Mon Cinéma, Exotiques, et Archi Beau, Terrains de jeux est leur sixième création.Du jeudi 25 avril au dimanche 22 septembre 2024
Du mardi au samedi de 11h à 18h, le dimanche de 11h à 17hÉvènement se déroulant au 5e Lieu, 5 place du Château, 67000 Strasbourg
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